Réunion publique et débat à l’invitation de Vivre en Vallée de Saint-Béat
Ce samedi – à 18 heures – Salle des fêtes de Saint-Béat
Et cette déviation ???
(mais aussi point sur les campings, la Garonne, …)
Analyse des arguments et documents avancés par l’État et les administrations
Quelles réponses de la population ?
Nous clôturerons la réunion autour d’un verre offert par l’association. Nous n’avons rien prévu de spécial pour grignoter avec ; alors, si vous avez des idées ou quelques petites choses qui traînent … ce sera avec plaisir !
Du 4 novembre au 16 décembre, le Conseil départemental organise une campagne de 12 réunions publiques de proximité ayant vocation à favoriser un dialogue citoyen entre les élus, les services du Département et les citoyens. La première s’est tenue à St-Gaudens, réunissant une soixantaine de participants. A cette occasion, au nom de l’association, Bernard Jacquin a fait part de nos questionnements et inquiétudes quant à la capacité du Pont-Neuf de supporter le flux routier auquel il serait soumis si l’État s’entêtait à mettre en œuvre son projet de “déviation de la déviation”.
C’est Bertrand Looses, Directeur général des services du Conseil départemental, qui s’est chargé de répondre. Ci-dessous la vidéo de cette intervention ainsi que sa retranscription dans son intégralité. Pour mémoire, rappelons enfin les propos qu’avait tenus Pierre Izard en décembre 2014 dans un courrier en réponse à l’Association des riverains et voisins de la RN 15 : “Si une phase provisoire consistant à ouvrir dans un premier temps le tunnel de Saint-Béat est proposée, celle-ci ne pourra se faire qu’après concertation avec les élus et avec les riverains et à condition d’être temporaire”.
Dernière précision, la réunion de dialogue citoyen concernant notre canton XXL se tiendra vendredi 2 décembre à 18 h 30 à la salle de la mairie de Barbazan. Qu’on se le dise !
Il est là !
Chez nous ! Depuis midi entre Fos et Arlos, lieu-dit Boucouas. Coordonnées GPS
42°52’59,8″N
0°42’56,2E
(en décimales)
42.8832778N
0.715611E
Ajout du 25/11/2016 Une petite vidéo proposée par Picsou 31 pour mieux comprendre comment fonctionne la tirelire.
A l’entrée de Fos, vous avez sûrement remarqué le bâtiment du Marché artisanal des producteurs, ouvert depuis l’été 2015.
Désormais, outre la vente des productions artisanales locales issues des deux côtés de la frontière, ce lieu a complété son offre de services.
Une petite épicerie y propose du pain (avec possibilité de formules d’abonnement), des pâtisseries, un rayon primeurs, des produits bio, végan et végétalien, …
Les clients de passage pourront aussi disposer d’un accès Wifi et disposeront d’un service laverie avec machine grande contenance (pratique pour les couettes) et le gardiennage (les clients n’ont pas besoin d’attendre …).
Le Marché artisanal est ouvert tous les jours – de 9 h à 19 h (fermeture hebdomadaire le mardi).
Pour compléter votre information, cliquez sur la vignette ci-dessous.
Lors de la réunion publique du 12 juillet, les services de l’État ont présenté ce que serait à leurs yeux la traversée de St-Béat à la fin 2017. Dès le lendemain, VVSB a demandé à ce que nous soient communiqué l’ensemble des études ayant amené leurs conclusions concernant la déviation mais aussi celles sur lesquelles se serait appuyé le préfet pour décider de la fermeture des trois campings de notre vallée. Avant son départ, le sous-préfet a transmis une bonne partie des documents réclamés ; ils appellent bien des remarques et, pour le moins, de nombreuses questions :
Sur les campings, pas de mesures, pas de visites sur site, aucun rapport officiel.
Pour les études dynamiques, 3 heures de comptages en 9 mois leur ont permis d’imaginer que la file d’attente maximale ne pourrait dépasser 120 m sur un feu. Quand on sait que, sans obstacles, il n’est pas rare de voir des files de véhicules atteignant la gendarmerie d’un côté et OMG de l’autre, il est permis d’avoir des doutes sur leur pertinence.
Les données extraites des contrôles réalisés sur la qualité de l’air ou les nuisances sonores ne sont pas liées à l’importance du trafic, ni à la répétition des arrêts ou démarrages aux feux dits intelligents.
Les travaux seraient arrêtés en raison de « difficultés techniques dues à la présence de sources pétrifiantes sur Argut », des impondérables pourtant déjà été pris en compte dans les pré-études … et connus de tous depuis la nuit des temps !
Aujourd’hui, près de 50 millions d’euros de travaux resteraient à engager … Pourquoi ne le sont-ils pas ? N’auraient-ils pas été utilisés sur d’autres sites ?
Comment arrivent-ils à s’arranger de la fragilité du pont ?
Comment peuvent-ils oser mettre en jeu la sécurité des riverains, des élèves de l’école et du collège ?
Ne seraient-ils pas plutôt en train
de nous préparer un provisoire dangereux et pérenne ?