Du mercredi 7 juin au samedi 24 juin, exposition à La Médiathèque : “Qui a refroidi Lemaure”

Du mercredi 7 juin au samedi 24 juin, venez découvrir dans votre médiathèque l’exposition ludique et interactive – “Qui a refroidi Lemaure”

Cette exposition interactive d’un nouveau genre inaugure une manière originale d’appréhender le polar ! Le visiteur est embauché en qualité d’inspecteur stagiaire par Séraphin Limier, légende de la PJ, avec mission de résoudre l’enquête, suite au meurtre du 26 rue Dampierre. Muni d’une tablette interactive, venez arpenter les lieux de l’intrigue représentés par de grands panneaux au graphisme très BD ; Vous collecterez ainsi de nombreux indices, interrogerez les témoins…Nul doute qu’à l’issue de cette enquête vous tiendrez le coupable ! Ainsi cette aventure interactive vous invite à entrer dans une fiction pour en devenir l’un des protagonistes. Une expérience d’un nouveau genre à vivre en solo, en tandem, en famille…
A vous de mener l’enquête*…

L’équipe des bibliothécaires

*aux heures habituelles d’ouverture de la médiathèque.

Renseignements auprès des bibliothécaires : 05 61 79 03 62

Exposition proposée en partenariat avec la Médiathèque Départementale.

Ciné-débat le vendredi 2 juin à 20h30 à la Halle aux Grains à Saint-Béat

La Médiathèque de Saint-Béat vous invite  le vendredi 2 juin à 20h30 à la Halle aux Grains de Saint-Béat  à la projection d’un film documentaire de Gilles Perret, “Les sauveteurs des Cimes”, suivi d’un débat  animé par le PGHM et le bureau des guides de Luchon.
Entrée libre – Dans la limite des places disponibles
Venez partager votre passion.

Renseignements auprès des bibliothécaires : 05 61 79 03 62

Le ciel est d’un bleu intense. Les milles flocons que nos pas font voleter, brillent au soleil.
Le vert des grands sapins rehausse ce paysage grandiose.
Le silence est présent. Le temps semble s’être arrêté.
Mais ce tableau idyllique peut basculer dans un éclair, sans que l’on ne se rende compte de ce qui se passe.
En effet le danger rôde, sournois.
Quand “Montagne” rime avec Plaisir et Sécurité.
 

Les sauveteurs des cimes (52 mn)

L’un des  Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne  est basé à  Chamonix. Spécialisée dans les interventions de sauvetage d’urgence, cette unité est constituée d’une quarantaine d’hommes. Les caméras les suivent dans leur quotidien mais aussi au cours de plusieurs missions périlleuses en altitude. Ces hommes, aguerris et expérimentés, n’hésitent pas à risquer leur vie afin de sauver celle des autres.
Prix du jury au festival du film de montagne et d’aventure d’Autrans et Grand Prix du festival international du film d’aventure de Montréal
http://www.filmsdocumentaires.com/films/886-les-sauveteurs-des-cimes

Un air de déjà lu ! Carole Delga soutient les enseignants grévistes du collège de Saint-Béat

Carole Delga vient de répondre aux enseignants du collège qui étaient en grève le lundi 24 avril pour protester contre la fermeture programmée du dispositif dit “innovant” censé compenser la fermeture de la Segpa. Elle dit partager la même incompréhension et les assure de son  attachement à la qualité du service public proposé aux citoyens de notre Région, surtout en matière d’éducation.

Pour ceux qui auraient la mémoire courte, relisez sa prise de position de l’an passée ICI. On y avait cru. A tort car elle s’en était arrêtée là.

Nous garderons par contre en mémoire les arguments qu’elle avait tenus lors de sa venue à St-Béat le 12 juillet dernier pour justifier son inaction “Le Dasen avait avancé des arguments « pédagogiques » en faveur du dispositif devant être mis en place en remplacement de la Segpa  ; reconnaissant son incompétence en la matière, elle n’était donc pas en mesure de les discuter. La rectrice elle-même n’est pas favorable au maintien de cette classe ; c’est dire  ! Elle refuse d’intervenir plus fortement, de taper du poing sur la table, assumant les limites de son autorité d’élue  ; il n’est pas dans son rôle de forcer la main d’un fonctionnaire.”

 

Déviation de Saint-Béat – Les riverains interpellent les financeurs (ou plutôt, ceux qui gèrent par délégation nos finances)

Initiative citoyenne.

Une bonne centaine de riverains de la route d’Espagne (les plus concernés, entre le Pont-Neuf de Saint-Béat et celui d’Arlos) et, bien entendu, les habitants de l’avenue de la Brèche-Romaine (par où est envisagé un raccordement “provisoire” à la sortie sud du tunnel) interpellent aujourd’hui par courrier les responsables des collectivités engagées dans le financement de la déviation de la N125 sur Arlos / Saint-Béat, à savoir Carole Delga, présidente de la Région Occitanie, Georges Méric, président du Conseil départemental, et Pascal Mailhos, préfet de la Haute-Garonne et de la Région.

La plupart des signataires suivent le dossier depuis des dizaines d’années et sont consternés de voir que l’achèvement du projet est remis à bien plus tard et que les administrations s’orientent vers une mise en service du seul tunnel, coûte que coûte, et à bref délai. Ils sont lassés de l’absence évidente de prise en compte de leur situation, de l’obstination des administrations à prévoir pour de nombreuses années le détournement de l’important flux routier, notamment celui des poids-lourds, vers le Pont-Neuf de Saint-Béat sous dimensionné ; suivant un circuit complexe et tortueux passant juste au-dessus de la piscine, du collège, du groupe scolaire, de la perception et de la (future) Maison de santé … avec pour passage du pont un sens unique alterné géré par “feux intelligents”.

Avec un chantier en demi-sommeil depuis plusieurs années, depuis le percement du tunnel et la pose du viaduc d’Arlos,

avec un budget qui explose (passant de 105 à 142 millions d’euros),

après une mise en service de la déviation dans son intégralité annoncée pour 2016, puis repoussée à 2019-2020,

ils apprennent maintenant que

tous les travaux seront à nouveau stoppés,

et ne reprendront pas avant 2019

… et que …

la jonction au viaduc d’Arlos en attente n’interviendrait pas, quant à elle, avant 2023-2024 !

« Qui dit mieux ? » interroge le courrier des riverains dont nous reprenons ici les propos.

« On évoque toujours les fameuses sources pétrifiantes et leur environnement qui imposeraient de nouvelles études !

Nous sommes vraiment très étonnés que ce problème soit encore à résoudre car il y a très longtemps que ces sources sont connues.

Leur existence et des solutions possibles sont d’ailleurs mentionnées dans les demandes de dérogation formulées par la DREAL en 2011 (sources du Mail des Pins et du Plan).

Comment est-il possible que le problème n’ait pas été résolu par les services compétents depuis tout ce temps ?

Les signataires (et contribuables) voudraient comprendre. Quel est le point de blocage ? Est-il nouveau ? Quelle est l’instance bloquante ? Un ministère parisien ? Bruxelles ? Quels progrès depuis 2015 ? Comment la DREAL traite-t-elle le problème ? S’agit-il d’un manque d’anticipation ou d’un problème d’organisation  ?

On entend dire, en terme de retard, que la DIRSO pourrait être déchargée de la maîtrise d’ œuvre ?

Les soussignés, incompétents mais non dépourvus de bon sens, sont perplexes devant ces éléments d’information distillés par les décideurs ; ils sont évidemment très mécontents de cette situation et veulent savoir de façon plus précise comment on peut en arriver à un retard d’au moins six ou huit ans  alors que les financements sont réputés assurés !

… … »

L'asso qui ne lâchera pas !