Archives de catégorie : Vie locale

Rendez-vous au jardin botanique de Melles les 5 et 6 juin

Cette année encore, depuis son début et pour la 18e année, le Jardin botanique de Melles “À Fleur de Montagne” participe aux Journées nationales des Rendez-vous aux Jardins.
Sous l’égide du ministère de la Culture, le thème 2021 est “la transmission des savoirs”.
Aussi, un beau programme festif est proposé aux visiteurs
* accueil du vendredi réservé aux scolaires ;
* accueil le samedi de 14 h à 18 h et le dimanche de 10 h à 18 h ;
* des ateliers découvertes : vannerie sauvage, impression végétale, découverte dans le jardin des plantes comestibles, des plantes à baies ;
* du conseil botanique et vente de plantes spécifiques des Pyrénées ;
* une buvette et restauration le dimanche avec un menu à emporter, qu’on peut manger sur place !
Jérôme, de l’auberge du Crabère, nous a concocté un bon petit plat (menu à 12 euros, réservation impérative) ;
* enfin, jeu découverte du jardin pour petits et grands et vente des créations originales de nos couturières

Amis du jardin, ces journées de fête sont l’occasion de profiter de l’explosion florale du printemps.
Les bénévoles de l’association seront heureux de vous accueillir au jardin botanique “A Fleur de Montagne”

Venez, parlez en autour de vous, amenez des amis… et ressourcez-vous dans notre belle vallée.

Gardons les passages à niveau de Chaum

Chaum – Les habitants se mobilisent pour maintenir leurs passages à niveau

Dans le cadre de la modernisation de la ligne, la SNCF envisage de faire circuler le train à 90 km/h afin de mettre Luchon à environ ½ heure de Montréjeau.

Pour cela, mettant en avant les questions de sécurité, elle veut fermer 2 des 3 passages à niveau du village. Elle serait prête à bitumer des itinéraires de contournement pour désenclaver des maisons, mais l’entretien ce ces km supplémentaires incomberait à la commune.

Oui, nous sommes pour la réouverture de la ligne, qui doit être un élément structurant pour toute la vallée. Et non un prétexte à raviver des querelles entre les « bénéficiaires » du projet et les autres.

En lien avec cette ligne, une plate-forme multimodale peut être envisagée à Marignac….

Mais, pour les habitants du village, ces passages à niveau sont avant tout un lien social et leur fermeture conduirait à en isoler une partie.

Nous sommes situés sur une ligne droite de 2 km , en voie unique, avec une très bonne visibilité.

Nous proposons :

  • Réduire la vitesse à 70 km/h, ce qui impacterait la durée du trajet de 5mn.
  • Sécuriser les PN21 bis et PN22.

Nous demandons que ces PN restent ouverts ; c’est le sens de la pétition que nous allons remettre au commissaire enquêteur le 5 février 2021.

Pour soutenir ce mouvement :

Contacts : Max Beaume 07 85 35 16 6 0

Pierre Lizarazu 06 85 65 31 24

Vous pouvez aussi écrire au commissaire enquêteur à : mairie.chaum@orange.fr

RÉINTÉGRATION DU LOCAL du COMITÉ d’ÉTABLISSEMENT

La cour d’appel de TOULOUSE, par son arrêt du 10 février 2020, maintient en vigueur jusqu’en 2089 le bail emphytéotique qui lie l’Amicale socioculturelle à la SAS FEROPEM. Ce même jugement déboute l’Amicale de sa demande de réintégration dans les locaux loués.
 
Cette situation abracadabrante conduit l’Amicale Socioculturelle de PEM Marignac, sur les conseils de l’Ordre de Avocats à confier son dossier à un avocat au Conseil d’État et à la Cour de cassation qui est en mesure de rendre une consultation confirmant ou non l’existence d’un moyen permettant de former un pourvoi. Ce dernier, suite au confinement, a formé un pourvoi en cassation le 30 juin dernier.
 
Les membres de l’AMICALE alertent sur la situation les parties et notamment le nouveau conseil de MARIGNAC et les élus de la Communauté des Communes Pyrénées Haut-Garonnaises par une banderole demandant la réintégration du local. Ils pensent qu’il est encore possible de trouver une solution amiable.

 

L’Espagne durcit les règles d’entrée sur son territoire

A partir d’aujourd’hui, l’Espagne durcit les règles pour pénétrer sur son territoire en établissant une quarantaine obligatoire de 14 jours.
Le gouvernement français avait déjà fait savoir auparavant qu’il mettrait en place la même mesure de son côté par souci de réciprocité dans l’éventualité où  le gouvernement espagnol prendrait unilatéralement des initiatives.
Seuls les travailleurs frontaliers peuvent donc encore circuler d’un côté à l’autre ainsi que les transports commerciaux. On nous dit que ces transports auraient nettement diminué depuis le début de la crise … Vu le nombre de camions que nous voyons circuler  à longueur de journée, il y a de quoi en douter !

Pour les voisins de base, comme nous, rien de changé.
Pouvoir rendre visite à nos amis espagnols n’est donc toujours pas d’actualité.