Lettre d’information de VVSB de février 2020

Nous inaugurons une première lettre d’information, que nous espérons à parution mensuelle. Vous pouvez en prendre connaissance ci-dessous, l’imprimer, la partager, …
Au programme de ce numéro : Notre projet de reprise de Caubous – Ce que deviennent nos déchets – la REOM – Télé VVSB – les élections municipales – des nouvelles de l’ancien cimetière – les non-réponses à nos courriers.

Nous vous invitons à la faire vivre, nous  communiquer vos suggestions, critiques, devenir vous aussi auteur  d’article ou même  nous faire parvenir vos coups de gueule sous forme de tribune libre.

Cliquez sur l’image et feuilletez les 4 pages :

5 réflexions sur « Lettre d’information de VVSB de février 2020 »

  1. Le propriétaire n’est pas (ou plutôt n’est plus) le bon interlocuteur compte tenu de l’urgence. Il faut agir par l’intermédiaire de structures ayant réellement du poids car là VVSB, ou un simple particulier, c’est quasiment du pareil au même.

    Par exemple le SDEHG (en sus de structure comme Enercoop) qui lui a dans son périmètre d’actions ce genre de situation :
    https://www.sdehg.fr/energie.html (en bas de page).

    Mettre en avant des arguments de type que cette centrale est par exemple en capacité de produire l’énergie consommée par les remontées mécaniques de la station du Mourtis (l’ordre de grandeur est bon au 1er ordre en prenant en compte le TSF4 + 3 ou 4 téléskis). Et du coup, cela permet de mettre dans la boucle le Conseil départemental qui gère les stations de la Haute-Garonne. Autre interlocuteur plus local que le propriétaire et qui a du poids.

    Mentionner que l’engagement de destruction est ancien (+/- 10 ans si je ne m’abuse) et que l’évolution climatique change grandement la donne pour des installations de production d’énergie réellement verte au fil de l’eau (donc 24/24 en période de production).

    Mettre en avant la modularité de l’installation : deux groupes de production permettent en cas de débit faible de ne produire que sur un groupe donc en prélevant moins d’eau et ainsi de rester plus longuement compatible du débit réservé en période de bas débit….

    Voilà un peu les idées pour arriver à faire bloquer la destruction. Ce qui est l’urgence première. La reconstruction de la chaussée avec passe à poissons sera obligatoire mais dans un 2nd temps, de même que toute la rénovation complète de la centrale elle-même, le canal d’amenée, les vannes, la canal de fuite.

  2. Nous y avons pensé. Pour l’instant, nous sommes contentés de faire dans l’ordre de ce qui nous a paru logique de prime abord, c’est à dire voir avec le propriétaire. Au moins sur le principe. Dans la mesure où il tarde à répondre et que le temps joue contre nous, de toute évidence, il nous va sûrement falloir adapter notre stratégie. C’est pourquoi nous avançons désormais notre projet sur la place publique. Les conseils et participations sont les bienvenus. Vous nous rejoignez ?

  3. Mmhhh…

    14m³/s, cela veut dire qu’elle ne peut quand même pas tourner à plein régime toute l’année vu les débits réservés et vu les période d’étiage sévère. Mais bon.

    Avec 600kw su r une centrale au fil de l’eau, ne faudrait-il pas, si ce n’est pas déjà fait, se rapprocher d’Enercoop pour monter un dossier d’éventuel redémarrage si ce n’est pas trop tard… Ils soutiennent des dossiers (cf point 2) :
    https://www.enercoop.fr/content/devenir-producteur-denergie-renouvelable-pour-enercoop

  4. Caubous c’est (c’était):
    2 groupes Kaplan incinés d’une P Max 700 kW (600 en réalité, 2x 300kW)
    Turbiné de 14m ³/s (2x7m³/s)
    Hauteur de chute : 6 mètres
    Production annuelle moyenne: 3,1 millions de kilowattheures.
    De toutes les Usines de l’ancien groupement de Cierp c’était celle ou le distributeur d’énergie rachetait le KW au meilleur prix. Débit sur le 20KV et non sur le 63KV comme les autres.

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