Revue de presse : El Segre du 02/12/2018 – Paralizadas las obras para evitar los vertidos de lodos que enturbian el Garona


© Imatge del dia que van començar les obres per evitar els abocaments de llots i argiles a la Garona.
CHE

Article d’origine à retrouver sur le site du journal El Segre, ICI.

Ne reculant devant rien, VVSB vous en propose ci-dessous sa traduction :

Arrêt des travaux pour éviter les rejets de boues qui troublent la Garonne

Les travaux que la Confédération Hydrographique de l’Èbre (CHE) réalise pour éviter les rejets de boues et d’argiles dans la rivière Valarties, qui troublent les eaux de la Garonne depuis le Naut Aran jusqu’à la frontière française depuis mai dernier, sont au point mort car un propriétaire des terrains interdit aux machines d’entrer pour construire un mur de soutènement afin que les fuites cessent. C’est en ce sens que Carlos Barrera, le syndic d’Aran, a expliqué que les ouvriers se sont déjà retirés et qu’ils vont devoir maintenant revoir ce propriétaire pour lui expliquer les travaux qui ont à être réalisés. Cependant, Barrera a déclaré que “son refus est absolument clair” et que le propriétaire du terrain veut savoir “si quelqu’un est coupable des glissements de terrain” qui se sont produits en mai dernier avant d’autoriser les travaux.En outre, Barrera a précisé qu’il y a un canal qui circule à environ 70 mètres au-dessus de la zone où l’avalanche a été enregistrée, a déjà été examiné “afin de connaître l’état interne de l’installation et pouvoir tirer des conclusions permettant de déterminer si la poche d’eau qui a provoqué les mouvements de terre a été générée par les pluies et la fonte ou s’il y a eu des contributions complémentaires qui ont aggravé la situation “. Barrera a déclaré que des travaux sont déjà en cours pour connaître les causes des mouvements de terre et a déclaré que “dans le cas où une quelque responsabilité devrait être revendiquée, elle sera exigée”.
Ces travaux ont débuté le 30 octobre après que le Conseil Général ait demandé au CHE une action “d’urgence” pour mettre fin aux déversements, ce qui pourrait mettre en péril la faune autochtone de la Garonne.

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