Revue de presse – Magazine Interception de France Inter du 14/10/2018 – L’ours, mouton noir des Pyrénées

Deux ourses slovènes ont été hélitreuillées dans le massif pyrénéen au début du mois d’octobre. Un engagement pris par Nicolas Hulot et mis en œuvre par son successeur François de Rugy. Mais cette ré-introduction a rallumé “la guerre de l’ours” dans les vallées.

Estive dans l'Ariège
Estive dans l’Ariège © Radio France / François Rivalan

Début octobre, passant littéralement « au-dessus » des manifestants pour éviter tout débordement, deux ourses d’origine slovène, Claverina et Sorita, ont été héliportées dans les vallées béarnaises.

Certains éleveurs et défenseurs de l’environnement s’opposent, et les invectives sont parfois violentes. Les deux camps s’échangent des arguments contradictoires : nombres de brebis égorgées (indemnisées à hauteur de plusieurs centaines d’euros quand la responsabilité de l’ours est engagée), influence des lobbies européens, mise en péril de la biodiversité…

Même chez les éleveurs, les avis divergent. La place l’ours dans les montagnes françaises pose une équation complexe dont les tentatives de résolution exacerbent les tensions.

« L’ours, mouton noir des Pyrénées », c’est un reportage de Stéphane Iglesis, prise de son François Rivalan, à retrouver sur franceinter.fr et sur notre page Facebook. Mixage, Julien Dumont. Réalisation, Violaine Ballet assistée de Stéphane Cosme.

Programmation musicale

D song de Bonobo

La ballade du facteur de Dionysos

Sea of tranquility de Colleen

La petite valse de Man

Canelle de Kalune

Attraction de Bibi Tanga & The Selenites

Twitch de David Shea

Down river up stream de David Shea

Dear garden de Ours Samplus

White nights de Ryan Teague

Cleo awake de Glenn Jones

La grande ourse  de Nicolas Errera

La chanson du petit ours de Kenneth Pattengale l

Documentation musicale : Romain Couturier

Une réflexion sur « Revue de presse – Magazine Interception de France Inter du 14/10/2018 – L’ours, mouton noir des Pyrénées »

  1. Comment peut-on s’étonner qu’un ours mange des chevaux et des moutons? Peut-être que les bobos de Paris ou de Toulouse pensaient que les ours mangeaient de l’herbe! Les pouvoirs publics peuvent pendre toutes les mesures qu’ils veulent, les ours auront toujours besoin de manger.
    une solution qui aurait l’avantage de régler 2 problèmes brulants: donner à manger des retraités aux ours ; du coup plus besoin de réformer les régimes de retraites et les agriculteurs Espagnol ne protestent plus…
    Philippe Prax

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